Près de trois quarts des traducteurs exercent à temps plein et seuls 4 % sont des travailleurs occasionnels (moins d’un mi-temps).
¼ des traducteurs français se disent généralistes et 40 % spécialisés à plus de 75 % (en termes de temps, de chiffre d’affaires ou d’un autre critère). Les trois spécialisations les plus fréquentes sont les industries et techniques, le juridique et la politique, puis les sciences pures et appliquées. Personnellement, je réalise 26 % de mon chiffre d’affaires dans le domaine de la mode. Viennent ensuite le tourisme et la cuisine, ex-aequo en deuxième position. Trois autres domaines me tiennent particulièrement à cœur, non pas du point de vue du chiffre d’affaires généré, mais de l’intérêt qu’ils suscitent chez moi : l’horlogerie, l’optique et l’électronique. Autant dire que j’aime passer du coq à l’âne !